Chine, Chine, Chine…

Pongistement parlant, vaut-il mieux être le premier Européen ou le deuxième Chinois ?
Si on pouvait poser la question il y a vingt ans, ce n’est plus le cas actuellement.
Pour progresser dans la discipline, il fallait et il faut encore et toujours se “frotter” aux méthodes des maîtres chinois.
La visite il y a quelques mois dans l’empire du Milieu des Souverains belges accompagnés de force ministres, sous – ministres, secrétaires de ceci ou de cela mais surtout des ténors belges de l’industrie, du commerce et autres activités dans lesquelles excellent nombre de compatriotes a été accompagnée et saluée par les médias. La réception accordée par les amis de M. Wang fut magnifique, nous a-t-on dit. Fort bien.
L’occasion pour “l’oeil de l’observateur” de rappeler un souvenir évoqué dans le livre “de défi en défi” (1) des deux Philippe, nos confrères ANTOINE et LACOURT:
Extrait de la page 42 (les stages à l’étranger):
“ Trois ans plus tard (NDLR: 1986), l’Asie remplace la France. Pendant 25 jours, Jean-Mi découvre un autre monde. D’autres conditions de jeu, mai aussi, et surtout, de vie. “Sur place (NDLR: à Tianjin, ville de M. Wang et futur siège du Mondial de 1995), c’était vraiment la galère mais quel souvenir extraordinaire !, dit-il. Il y avait trois chambres, deux avec des lits normaux et une chambre double avec des planches en bois sur lesquelles était posé un “matelas” d’environ un centimètre d’épaisseur….  on ne pouvait pas dormir sur le ventre, tant cela faisait mal aux genoux…. Le matin, on s’entraînait  contre des jeunes joueurs chinois de la région, parmi lesquels, tout de même le champion de Chine junior…L’après-midi on faisait “panier de balles” pendant deux heures. Après quoi, un exercice incroyablement difficile: prendre les balles en coup droit dans la “zone revers” et vice-versa…”
Ces stages ont eu une importance capitale dans la carrière de Jean-Mi, concluent les auteurs. Les conditions étaient dures, très dures. Ils (les stages) lui ont donné l’envie, par la suite, de partir une quinzaine de jours par an en Asie chaque fois que c’était possible.
Avec les résultats qu’on connait. Et qui ont fait de notre compatriote, à l’époque, l’Européen le plus connu là-bas.
En  attendant la visite de personnalités et d’autorités plus renommées…
Source : “édition Labor, 1994”


Source: Infos Ping – Chine, Chine, Chine…

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